Vingt-cinq moins un

De septembre à mai, ce roman poignant raconte le quotidien d’une classe de quatrième année affligée par deux événements marquants, le cancer de Thomas et la mort d’Émeline. Si c’est Ève qui prend la parole pour exprimer l’incompréhension qu’elle ressent face à la maladie du premier et la culpabilité face au décès de la deuxième, culpabilité qui la pousse à s’isoler, les textes écrits par l’enseignante, figurant sur le papier ligné du cahier Canada dans lequel elle correspondait avec Émeline, expliquent son point de vue d’adulte qui doit écouter, consoler et rassurer ses élèves, certains éprouvant de la tristesse, du déni, de la peur et de la colère. Petit à petit, la vie reprend son cours alors que la classe célèbre la mémoire de la fillette qui n’aura jamais ses dix ans et Ève elle-même regagne espoir en épaulant Thomas dans son combat contre le cancer. [SDM]


La métamorphose d’Helen Keller

Nous sommes en 1880, aux États-Unis. À la suite d’une scarlatine, la petite Helen Keller devient aveugle, sourde et muette. Privée de tout échange avec son entourage, elle s’enferme dans la solitude et la colère. Désespérés, ses parents font appel à Annie Sullivan. La jeune femme, elle-même presque aveugle, va transformer Helen, violente petite rebelle, en brillante étudiante connue du monde entier. Une histoire vraie, un incroyable défi, une leçon de courage et d’espoir.


La petite casserole d’Anatole

Anatole traîne depuis toujours derrière lui une petite casserole. Trouvant ça bizarre et même un peu inquiétant, les gens ne se rendent pas compte des qualités d’Anatole. Un jour, celui-ci est si malheureux, qu’il décide de se cacher avec sa petite casserole. Heureusement, il croise une femme qui va lui apprendre à apprivoiser celle-ci… [SDM]  Une classe de l’école Lumière à Lyon en a fait une vidéo, découvrez-la https://www.youtube.com/watch?v=KYEdW1rq77o


Elle a persisté autour du monde : 13 femmes qui ont changé l’histoire

“Ce n’est pas toujours facile d’être une fille, peu importe où l’on habite. […] Il existe des pays où les filles ne peuvent pas aller à l’école et où les femmes ont besoin de la permission de leur mari pour obtenir un passeport ou même pour sortir de la maison. Partout dans le monde, on demande souvent aux filles de se taire, de se calmer et de restreindre leurs ambitions.” Mais de nombreuses femmes ont eu le courage de braver les interdits et d’affirmer leurs talents et leurs idées pour faire changer les choses. Du Mexique au Pakistan en passant par la Pologne, l’Angleterre et le Kenya, on dresse ainsi le portrait de 13 femmes remarquables qui ont agi de la sorte et qui ont contribué à l’avancement de la société partout autour du monde.


La ligue des super féministes

Sous forme d’une bande dessinée, les concepts clés de l’égalité et du féminisme sont mis en scène de façon claire et humoristique. Les jeunes découvriront des notions sur la représentation du féminin et du masculin dans nos sociétés, le genre, la beauté, les relations amoureuses et le consentement. L’information est narrée par une jeune adolescente à deux enfants, fille et garçon, qui posent de solides questions.


Les filles peuvent le faire … aussi ! Les garçons peuvent le faire … aussi !

Chacun des côtés tête-bêche de l’album débute par des idées toutes faites. D’un côté : Les filles ont peur de tout ! Les déguisements de pirates, c’est seulement pour les garçons ! De l’autre côté : Les poupées, c’est pas pour les garçons ! Les garçons ne pleurent pas ! Puis s’enchaînent, de pages en pages, des situations qui déconstruisent ces clichés.


Le fleuve

Sur le fleuve l’Ongoh vivent d’un côté les Oolong (qui élèvent un bébé fille en garçon), et de l’autre les Dong-Ding (qui élèvent un bébé garçon en fille). Leur vie se déroule tranquillement, comme le cours du fleuve, jusqu’au jour où un monstre terrificateur apparaît, menaçant de dévorer tous les parents s’il n’obtient pas la potion qui le rendra éternel …


Le Petit Capuchon bleu

Dans le village traditionnel de Saint-Simiilaire, on ne peut pas faire ce qu’on veut. Le loup Roger n’a pas le droit d’avoir peur la nuit et d’être dégoûté à la vue du sang. Le pépé et la mémé de Roseline n’ont pas le droit de divorcer. On attend des filles qu’elles soient douces, délicates, discrètes et élégantes et des garçons qu’ils parlent forts, se chamaillent et débattent de tout et de rien. Mais le Petit Capuchon bleu n’a rien à faire de ces règles strictes et déplaisantes.